La toxine botulique est utilisée à doses thérapeutiques depuis 30 ans en neurologie, ophtalmologie et pédiatrie pour mettre au repos certains muscles trop toniques donnant des mouvements anormaux.
En dermatologie esthétique, la toxine est utilisée pour relaxer les muscles peauciers du visage. Elle est utilisée surtout au niveau des rides d’expression du haut du visage. En effet à ce niveau la peau est collée sur les muscles ce qui provoque des rides d’expression.
N’ayez donc pas peur des injections de toxine botulique car les méthodes d’injection ont évolué, et on corrige actuellement la globalité de la partie haute du visage et non plus quelques rides par ci par là.
Cette prise en charge globale du visage vise à lui redonner un aspect plus tonique, plus jeune, moins fatigué, moins crispé en effaçant les émotions négatives.
Le produit est réparti correctement et équitablement afin de ne pas avoir l’aspect «figé» que l’on peut constater parfois sur certaines personnes.
Une injection réussie doit donner au visage un aspect naturel même s’il reste une ou 2 rides.
Il faut attendre environ 5 jours pour que le produit commence à agir et que les rides s’atténuent car le résultat se constate surtout au bout de 2 semaines.
Le résultat étant temporaire, le visage retrouve donc son aspect initial au bout de 4 à 6 mois de façon très progressive.
Il faut donc prévoir un entretien tous les 6 mois.
Ainsi avec les injections de toxine botulique on peut réduire la ride du lion, reposer le regard, remonter un sourcil tombant, lisser la peau du front pour lui apporter plus de lumière.
Bien entendu, selon l’état du visage il peut être nécessaire de compléter avec d’autres techniques.
Par contre ce type d’injections doit être faite par un médecin expérimenté, reconnu et surtout pas par des esthéticiennes comme cela existe parfois.
La Botox party telle qu’elle existe en Angleterre ou même dans certaines soirées en France est à fuir !
Docteur DENJEAN qui aime l’aspect reposé obtenu par la toxine botulique.
Arrivant à mon demi siècle, je me dois d’acquérir un aspect reposé. Je suis ravi qu’une de mes amies ait relayé votre message. Que du bonheur pour mon proche avenir.
Les rides sont naturelles et elles font partie du cheminement de l’acceptation de notre âge…pour le côté médical je suis d’accord, les gens souffrent de problèmes neurologiques ou autres,une aide précieuse pour eux..utilisés plusieurs fois,ces traitements deviennent obligatoires…la peau devient sans tonus, encore pire que le vieillissement naturel…pour ma part je n’aime pas l’aspect poupée gonflable…
L’aspect poupée gonflable fait partie des dérives et n’existe pas lorsqu’une injection est bien faite dans le respect du visage par un bon professionnel
Très bien répondu.
Les personnes censées sont toujours raisonnables et les soins demandés sont toujours discrets et qui améliorent l’apparence juste pour forcer l’attirance sur soi.
Forcément quelques années de moins en apparence, c’est une joie intérieure et très personnelle.
Merci, Docteur DENJEAN, quand on me parle de mon âge il y a toujours au moins dix ans de moins que le réel. Vous avez un savoir faire de très bon professionnel de l’injection.
Bonjour Docteur,
vous dites ne pas comprendre que l’on soit si cruel en perpétrant les tests sur les animaux et vous nous conseillez de cesser d’acheter des cosmétiques testés sur les animaux, cependant vous conseillez les injections de toxine botulique alors que chaque lot de toxine botulique est testé sur des souris avec l’effroyable test DL50 avec lequel les souris qui y sont soumises pendant 5 jours se paralysent de plus en plus jusqu’à ne plus pouvoir respirer. Elles connaissent une mort horrible en s’étouffant et celles qui n’ont pas tout à fait succombé à ce calvaire sont achevées par brisement de leur nuque.
J’aimerais bien savoir pourquoi vous conseillez à vos lecteurs de ne pas acheter de cosmétiques testés sur les animaux alors que vous ne donnez pas ce même conseil concernant les injections de toxine botulique. Eclairez-moi SVP.
Bonjour
En réalité si vous faites des recherches vous verrez que certaines toxines botuliques ne sont pas expérimentées sur des animaux et c’est le cas de celle que j’utilise
Oui Docteur DENJEAN, cela fait bien longtemps que je n’ai plus un aspect reposé avec ce Covid19 qui m’épuise en divisant par deux mes revenus et en multipliant mon temps réel.
Mais je dis qu’avec mon masque il me faut me reprendre à obtenir un visage moins fatigué.
Mes présences en public m’obligent à rester plus jeune et surtout plus présentable.
Mon moral ne pourra remonter que par une apparence plus à même d’être dans une empathie de conquête.
C’est pourquoi je me dois de vous revoir au plus vite.
J’ai envie de retrouver votre savoir faire pour retrouver une douceur de vivre.
À très vite après les municipales.
Respectueusement considérable
Quand on est journaliste ou invitée, même le maquillage ne masque pas le visage fatigué et tellement accentué par les effets de rejet.
Dans notre présence dans l’audio visuel, on se sent obligées de nous occuper de notre apparence.
D’ailleurs les hommes se sentent aussi de plus en plus concernés.
Le cabinet du Dr DENJEAN permet d’obtenir une apparence qui permet aux téléspectateurs d’écouter mes propos plutôt que de penser à mon visage.
On est très nombreuses à venir voir le Dr DENJEAN pour ses compétences.
Bonjour Docteur,
malgré toutes les recherches que j’ai faites concernant les injections de toxines botuliques, je n’en ai trouvé aucune qui ne soit pas testée du tout sur les animaux! J’aimerais bien savoir quelles sont celles que vous utilisez car si elles ne font vraiment l’objet d’aucun test sur les animaux, je courrai me les faire injecter. Je n’attends que cela depuis des années! J’ai cherché de longues heures sur le Net un botox qui n’ait pas été essayé sur quelque animal que ce soit et le résultat de ces recherches ayant toujours été infructueux, j’ai fini par me résigner avec tristesse à garder mon visage sombre et soucieux.J’attends vos informations avec espoir et impatience.
Un grand merci d’avance.
Bonjour
J’utilise la toxine Azzalure et le groupe qui la commercialise Nestlé a stoppé les tests sur les souris en 2018
https://one-voice.fr/fr/blog/nestle-responsable-de-tests-cruels-sur-les-animaux-pour-du-botox.html?page=14
Merci infiniment Docteur DENJEAN de votre prestation.
C’est la première fois que je suis radieuse et ravie car j’ai eu pas mal d’injecteurs et d’injecteuses auparavant.
Je n’ai plus de mots pour vous dire mon admiration.
Je me réjouis de vous revoir dans 9 mois.
Avec toute mon admiration
Merci Docteur DENJEAN pour avoir si bien modifié mon apparence et surtout que personne ne m’a interrogée.
Je tenais à vous en remercier vivement car c’était mon angoisse.
J ai subi des injections ratées et enfin je vous ai trouvée.
Je dors tellement mieux depuis notre première rencontre.
MERCI INFINIMENT
Parce qu’il m’est inconcevable d’avoir recours à des fins esthétiques à des produits testés sur les animaux, il m’était impératif de vérifier les informations que vous avez transmises sur votre bloc concernant les expériences sur animaux ou pas de la toxine botulique AZZALURE avant la commercialisation de chaque lot. J’ai découvert que ceux-ci n’étaient pas véritablement exempts de tests sur animaux.
La filiale nestlé skin health, ex-société galderma (acquise intégralement par Nestlé en 2014 et partenaire d’ipsen) a commercialisé la formulation botulique azzalure jusqu’en 2019. Cette même année, nestlé s’est désengagé de la dermatologie en cédant son activité nestlé skin health à un consortium. A l’issue de cette transaction, l’ex-filiale de nestlé retrouve son nom d’origine: Galderma. Le partenariat Ipsen / Galderma détaché de nestlé n’en a pas moins continué sa collaboration. L’un fabrique et teste, l’autre commercialise.
Mais, de sa propre communication, Ipsen, dans cette lettre informative du 25 février 2020: https://www.ipsen.com/websites/Ipsen_Online/wp-content/uploads/sites/49/2020/03/06104217/00-IAW-ONLINE-POSITION-STATEMENT_Ipsens-CBA-implementation-FR-2020-02-25-final.pdf
n’a jamais complètement cessé de recourir aux tests sur animaux, ces atroces et controversés supplices de DL50, même après avoir obtenu la validation par les autorités de son test alternatif au calvaire des souris.
Dans ce communiqué, lpsen évoque des circonstances exceptionnelles, susceptibles d’impacter l’approvisionnement des patients, où il se trouverait contraint de revenir à l’expérimentation animale à dose létale.
D’une part, je ne comprends pas le lien entre la pénurie de lot de toxine botulique azzalure et le besoin alors de revenir à l’impitoyable DL 50 , d’autre part et surtout, je constate, à partir de là, qu’on ne peut donc jamais être sûr que le lot de toxine botulique dont sont issues les injections que l’on va recevoir n’a pas été testé sur des souris. C’est comme le roulette russe!
Dans cette conjoncture, IPSEN ne peut en aucun cas garantir que chaque injectable AZZALURE et Dysport n’est pas expérimenté sur des animaux. Face à cette incertitude et s’ils sont cohérents, les patients et praticiens soucieux de ne jamais nuire aux animaux pour des soins esthétiques ne peuvent donc recourir aux injections de toxine botulique sans renoncer aux fondamentaux de leurs principes moraux.
La problématique est méconnue du grand public. Or tous, et en particulier les chirurgiens esthétiques et les dermatologues, doivent savoir ce que cache cette pratique afin de recourir à ce traitement esthétique en toute connaissance de cause. D’autant plus que l’opinion est majoritairement et de plus en plus opposée aux expériences sur animaux, tout particulièrement lorsqu’il s’agit de produits à usage esthétique.
Ce que le DL50, test archaïque, inflige aux animaux est d’une cruauté de l’ordre de l’irreprésentable. La toxine botulique est un poison redoutable qui inhibe la transmission des signaux entre les nerfs et le muscle, qui se paralyse. Un lot de toxine botulique testé sur des animaux exige en général le sacrifice de 100 souris qui demeurent conscientes jusqu’à la fin du supplice. Un échantillon du poison leur est injectée dans l’abdomen. Les animaux sont progressivement pris de paralysie, de troubles de la vue et de détresse respiratoire. La plupart finissent en mourant par suffocation après 3 ou 4 jours de torture. D’ailleurs cette expérience est effectuée pour déterminer la dose qui tuera 50% des souris d’où son nom DL50, dose létale médiane.
Quant aux survivantes, elles sont achevées par brisement de la nuque. Dans ce cas, les plus « chanceuses », si le geste est bien effectué, meurent sur le coup. Certains testeurs les achèvent aussi par gazage au dioxyde de carbone. La souffrance des souris n’est pas prise en charge. Elles ne reçoivent pas d’antidouleurs.
Tout le marché de produits injectables à base de toxine botulique n’offre aucune opportunité de s’en faire injecter dans l’assurance absolue qu’ils n’aient pas été testés sur des souris.
Que ce soit la société pharmaceutique ALLERGAN, principal concurrent d’IPSEN, avec son produit Botox, ainsi que le laboratoire MERZ, pour ses médicaments injectables à la toxine
botulique A, Xeomin et Bocouture, ces sociétés ont toutes été contraintes, comme IPSEN, sous la pression des associations de défense des droits des animaux et la mobilisation citoyenne, d’élaborer de nouveaux protocoles expérimentaux alternatifs à l’empoisonnement des souris avec notamment des tests de toxine botulique sur des cultures de cellules humaines, une méthode à la fois plus moderne, rapide, efficace et évidemment plus éthique. Selon elles, avec ces nouveaux protocoles expérimentaux, c’est 95% d’animaux qui seraient épargnés. Cela implique que, pour ce médicament, 5% d’animaux, au moins, continuent toujours d’agoniser en se paralysant et suffoquant jusqu’à cinq jours durant sous la torture du DL50 avant d’en succomber ou d’être achevés par brisement de la nuque ou par gazage.
Quant à la firme japonaise Eisai , elle commercialise en Europe , par l’intermédiaire de l’entreprise sloan pharma basée en Suisse et au luxembourg, une préparation botulique de type B appelée Neurobloc dont l’usage se répand aujourd’hui auprès de ceux dont les rides sont devenues résistantes à la toxine botulique de type A de la concurrence. C’est le laboratoire allemand LPT, qui effectue les ignobles tests DL50 pour son compte en Europe. Ainsi, celui-ci continue de torturer et sacrifier en masse des souris.
Selon les dernières estimations de l’ECEAE, la Coalition européenne qui lutte pour mettre fin à l’expérimentation animale, les sociétés de production de toxine botulique causent encore la mort, après leur voir fait subir un concentré de souffrance, de 400 000 souris par an rien qu’en Europe .
En conclusion, plusieurs tests alternatifs ont été développées à l’échelle internationale [cultures de cellules, puces organiques, liposomes(1)]. Suivant les pays et les firmes, les méthodes utilisées diffèrent. Parmi elles, certaines permettent de réduire le nombre d’animaux sacrifiés mais ne l’évitent pas. Reste à chacun d’évaluer si la lutte contre les rides mérite autant de souffrance et de morts…
Dans cette lutte contre les rides en médecine esthétique, ce qui est également désespérant, c’est que les produits injectables à base d’acide hyaluronique ou de collagène sont aussi testés sur les animaux. Ces produits de remplissage sont souvent utilisé en complément du botox pour traiter d’autres zones du visage. Et tout comme le botox, ils ne sont pas considérés comme de simples cosmétiques mais comme des produits médicaux et tous les produits médicaux, conformément à la réglementation, doivent d’abord être testés sur des animaux avant d’être administrés aux patients.
Je suis véritablement accablée par l’existence de ces expériences sur les animaux et je ressentais le devoir de vous en informer.
1) https://translate.google.com/translate?hl=fr&sl=en&u=https://www.forschung3r.ch/fr/projects/pr_125_11.html&prev=search&pto=aue
Je me fais injecter systématiquement tous les 6 mois.
J’ai tellement un climat de confiance avec ma dermatologue favorite que j’ai un tempérament pétillant. Ce qui est le plus rassurant c’est que toutes les personnes qui me côtoient me félicitent de mon caractère éternellement optimiste et ne me parlent jamais de mon apparence. Bien sûr, je fais d’autres soins complémentaires quand c’est nécessaire.
Faîtes comme moi, laissez vous guider sans aucune appréhension.
C’est une experte en dermatologie esthétique…
merci
Merci docteur DENJEAN
Non je n’ai surtout pas peur avec vous, c’est un réel plaisir tous les 7 mois.
Infiniment reconnaissante.
merci